En ce début d’année, l’équipe en charge du Dossier vous présente ses meilleurs vœux.

Par ailleurs, partenaire des Trophées du Digital Learning 2024, e-learning Letter vous rappelle également que les équipes formation et leurs fournisseurs ont jusqu’au 31 janvier 2024 pour déposer leur candidature.

Le plat de résistance (le Dossier)… par ordre d’entrée en scène : 

• « À quels besoins doit répondre une solution de formation destinée aux PME et aux ETI en 2024 ? » C’est à cette question que répond Loïc Jourdain (Simbel), qui rappelle les défis liés à trouver un outil de formation « tout-en-un », engageant et économique, en s’appuyant sur une étude qui révèle l'importance des entretiens individuels pour recenser les besoins de formation, l'utilisation combinée de formations internes et externes, et le mécontentement concernant la fluidité des solutions existantes. Les efforts de l’éditeur pour répondre à ces défis sont inscrits dans sa roadmap 2024.
• Olivier Rohou (360Learning) traite du rôle crucial de la formation dans l'alignement des compétences des employés sur les besoins de l'entreprise. Dans « La gestion unifiée de la formation et des compétences : plus que jamais impérative », il souligne l'écart grandissant entre les compétences existantes et celles demandées, exacerbé par les avancées technologiques et les changements démographiques. L'acquisition d'eLamp par 360Learning permet de combiner gestion des compétences et stratégie de formation, en mobilisant les possibilités de l'intelligence artificielle.
• Pour Elodie Primo (MOS - MindOnSite), « Les acronymes, c'est bien, la croissance, c'est mieux ! ». De l'usage excessif d'acronymes dans le secteur du digital learning : LMS, LXP, et autre LCMS ont beau être très répandus, la confusion reste possible, et suivre une tendance n’est pas toujours utile. La solution MOS Chorus, qui allie les fonctionnalités d'un LMS et d'un LXP, ainsi que gamification et gestion des compétences, veut d’abord soutenir la croissance des entreprises.
• Xavier Voilquin (Medtronic) clôture ce premier Dossier 2024 en beauté, avec l’enthousiasme qui sied : « Vivement demain ! ». Il retrace l'évolution du digital learning en trois étapes clés : le début des plateformes LMS avec le mode SaaS, l'impact de la technologie mobile et des LXP sur les méthodes d'apprentissage, et enfin, l'avènement de la 5G, du COVID-19, et de l'IA générative transformant radicalement le domaine. Les Directions learning & development pourront faire face au monde qui vient à condition de développer leurs compétences technico-pédagogiques et de se former continument pour s’adapter aux progrès technologiques.
• Dans « Moodle : plateforme LMS dans la cour des grands », Jean-François Le Cloarec (E-learning Touch’) discute des avantages du LMS open source Moodle : robustesse, innovation continue, autonomie dans le choix des prestataires de services. Ces points forts s’appuient sur une communauté active de développeurs et de partenaires officiels. Aussi mentionné : l'aspect financier avantageux de l'open source, les fonctionnalités personnalisables et les capacités d’expertise en accompagnement. Sans oublier la prochaine intégration de l'intelligence artificielle. 
• Dans « Formation digitale : comment choisir votre plateforme LMS », Matthieu Mouammar (Callimedia) souligne, dans le choix d’une plateforme LMS (Learning Management System), l'importance que revêt, d’une part, l’interface utilisateur pour une meilleure expérience d'apprentissage et, d’autre part, des critères ancrés sur les besoins des utilisateurs et la stratégie de formation de l’entreprise. Il décrit comment LMS UPility, la plateforme de Callimedia, tient compte de cette approche, en offrant flexibilité, personnalisation et intégration avec d'autres systèmes.
• Jean-Roch Houllier (Safran University) donne « 4 conseils aux Directions Formation pour tirer parti des évolutions technologiques en cours ». Synthèse : développer une stratégie d'apprentissage cohérente fondée sur une connaissance approfondie de la culture et de la maturité digitale de l'entreprise ; mettre en place une veille technologique active pour rester informé et inspiré ; adopter une approche de gestion de projet pour réussir l'intégration des technologies d'apprentissage ; communiquer efficacement et accompagner le changement pour assurer l'adoption et l'efficacité des solutions technologiques.

Bonne lecture !